mars 24, 2020, 22:53
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Professionnels hypothécaires du Canada
Le premier ministre de l’Ontario a ordonné la fermeture de tous les lieux de travail non essentiels à compter de 23 h 59 ce soir. Plus de détails sont fournis sur la manière dont cela affecte les courtiers en prêts hypothécaires.
Hier, le premier ministre de l’Ontario a ordonné la fermeture de tous les lieux de travail non essentiels, à compter de 23 h 59 ce soir. Vous pouvez trouver les détails de l’annonce
ici.
Une liste des lieux de travail jugés essentiels a également été publiée tard hier et peut être consultée
ici. PHC a confirmé avec le gouvernement de l’Ontario que les entreprises « de la filière des services aux banques et aux institutions de prêt » sont incluses. Cela inclut les courtiers en prêts hypothécaires. D’autres industries connexes sont également jugées essentielles, notamment (65.) les avocats et les comptables, et (67.) les services d’enregistrement foncier, les services d’agents immobiliers et les services de déménagement.
L’ordonnance du gouvernement provincial est motivée par le désir de réduire les contacts physiques et la proximité des Ontariens. Ce n’est pas un ordre de cesser de faire des affaires ; c’est un ordre pour les entreprises non essentielles de cesser de faire des affaires sur leur lieu de travail traditionnel. Le communiqué indique également :
Notez que le télétravail et le commerce en ligne sont autorisés à tout moment pour toutes les entreprises.
Les entreprises qui ne figurent pas sur la liste des services essentiels peuvent néanmoins exercer leurs activités, mais pas à partir de leur lieu de travail habituel. Le gouvernement implore les Ontariens de travailler de chez eux dans la mesure du possible.
Le gouvernement entend que les entreprises mettent en œuvre, comme meilleure pratique, des mécanismes de travail à domicile. Bien que les inspecteurs et évaluateurs d’habitations ne soient pas répertoriés comme essentiels, ils ne sont pas empêchés de travailler, même si beaucoup d’entre eux auront modifié leurs processus d’entreprise étant donné l’épidémie de COVID-19. En bref, les affaires devraient se poursuivre, bien que de manière modifiée, compte tenu des restrictions appropriées en matière de proximité physique et de contact imposées par les entreprises pour le bien-être de leur personnel.